Montrer Les 37+ Sites Comme Kemono Party:
Kemono Party
https://kemono.party
On va faire un tour sur Kemono Party ? Ouais, ça ne vous dit probablement rien, et je ne peux pas vous en vouloir. Moi non plus, je ne savais pas trop à quoi m’attendre avec un site ayant un tel nom. Avec TeensLoveHugeCocks ou Hentaigasm on aurait tout de suite à quoi s’attendre. Mais si vous êtes un kikoujap qui a passé la dernière décennie à étudier la culture japonaise entre deux branlettes, alors vous savez peut-être déjà ce que j’ai découvert sur Wikipedia : Kemono, ça veut dire ‘’bête’’, et c’est souvent un diminutif de Kemonomimi, le fait de représenter des humains et des personnages humanoïdes avec des oreilles d’animaux et des queues par exemple.
J’imagine que vous êtes en train de vous poser plein de questions. Comme vous êtes sur ThePornDude, je pense que vous savez déjà ce qu’on va y trouver. Kemono.Party est un site hentai gratuit qui se spécialise dans le contenu premium. Le contenu n’est pas spécialement furry, mais vous en trouverez beaucoup quand même. C’est pas une sélection de doujinshi habituelle, et c’est peut-être pour ça qu’ils s’en sortent mieux que les autres. Près de 6 millions d’amoureux de la fourrure se sont arrêtés le mois dernier, et les visites ne cessent d’augmenter. Il faut qu’on aller voir ce qui excite tous les tocards et les fait remuer de la queue.
Kemono Party envoie du lourd
Je n’avais aucune idée de ce que Kemono pouvait être rien qu’en voyant le nom, et je n’avais toujours aucune idée du thème en cliquant sur le lien et voyant la page d’accueil. Pas de nibards ou de chattes, pas de dessins de furries nues ou de vidéos avec des pornstars. La plupart des sites pornos gueulent bien fort pour montrer le genre de porno qu’ils nous proposent d’entrée de jeu, mais ici, ce n’est pas le cas.Entre une annonce parce qu’ils recherchent des développeurs qui connaissent le Python et un tas d’annonces qui n’ont aucun sens pour un nouveau visiteur, la page d’accueil pleine de texte résume le site comme ça : un scraper pour contenu Patron, Pixiv Fanbox, SubribeStar, Gumroad, Discord, DLsite et Fantia. Ceux qui n’y connaissent rien pourraient toujours ne rien piger, mais certains ont déjà la trique rien qu’en lisant ça. Ce sont les plus grosses sources de contenu hentai payant, et le site nous promet un accès gratuit à tout ce contenu.
C’est un catalogue étoffé par les utilisateurs, donc les chiffres croissants sont assez logiques. Plus ils ont de membres, plus il y a de porno ici. C’est une communauté active de fans de hentai qui aiment partager. C’est cette grosse communauté active qui fait vivre le site. Plus elle grandit, plus le site grandit.
Littéralement. Plus il y aura d’utilisateurs, et plus on verra de pornos arriver quotidiennement sur le site. Ces déviants sont pressés de partager leurs secrets avec le reste du monde, donc attendez-vous à voir régulièrement de nouveaux contenus arriver sur le site. Si vous voulez participer, il vous suffit d’utiliser le lien d’importation en haut de l’écran. Le système Kemono.Party peut récupérer automatiquement le contenu de sites payants comme Patreon, DLsite et Fantia, c’est franchement cool.
Des millions de trucs gratuits
À chaque fois que je suis retourné sur la page des publications récentes ou que j’ai rafraîchi la page, j’ai eu droit à une nouvelle fournée de hentai pour m’astiquer. Depuis que j’ai écrit le dernier paragraphe, près d’une dizaine de nouveaux contenus ont été ajoutés. Il y a la vidéo d’une nana qui suce une bite et une galerie sur le même thème, une parodie de Genshin Impact avec du bondage, une animation porno sur The Witcher et quelques catgirls qui se font violer par des tentacules.À ce jour, il y a plus de 2,2 millions de contenus sur Kemono.party, soit autant de photos ou d’animations. C’est impressionnant comme catalogue de hentai, et je suis encore plus impressionné en voyant que c’est d’habitude du contenu payant. Il faudrait être millionnaire pour arriver à se payer tout ça !
Il y a aussi une belle variété de contenu hentai. J’ai rafraîchi la page, et j’ai eu droit à du bondage, cette fois c’était basé sur la Petite Sirène de Disney, il y avait aussi une double pénétration d’une nana de Final Fantasy et la vampire géante de Resident Evil sur le visage d’un mec. Il n’y a plus de furry du tout sur la page, mais dans l’ensemble, le catalogue est quand même très basé sur des trucs avec des hybrides humains/animaux.
Vous y verrez une belle variété de doujinshis et de dessins dépravés, mais ça nous mène à l’un des problèmes de Kemono Party : il n’y a pas de page des tags ou des catégories comme sur les autres sites de hentai. En fait, on dirait qu’ils n’ont pas le même système de tags que la plupart des autres sites. Si vous utilisez la barre de recherche, vous verrez qu’elle ne sert qu’à chercher dans les titres et peut-être le texte intégré. Chercher du contenu sur le site sera un peu plus compliqué, surtout si vous ne savez pas précisément ce que vous cherchez.
Il y a quand même une certaine phase d’apprentissage sur le site, mais les fans de hentai devraient s’en sortir plus rapidement que ceux qui débarquent de nulle part. Ils n’ont pas de liste des sous-catégories hentai ou des séries parodiques, mais ils ont un répertoire de près de 14000 artistes. Si vous avez des artistes préférés, alors vous n’aurez aucun mal à trouver leurs leaks de Patreon, Pixiv Fanbox, SubscribeStar et d’autres plateformes du genre.
Branlez-vous sur les énormes nichons de Lady Dimitrescu
J’ai rafraîchi la page des contenus récents, et j’ai eu droit à une nouvelle fournée de contenus récents datant des dernières minutes. Cette fois, j’ai pu voir la rousse de Horizon Zero Dawn sans son haut, du porno avec Lady Dimitrscu, du bondage avec les persos de Oh My Goddess et des trucs sexy avec Batgirl, et bien plus encore.J’ai cliqué sur l’image topless de Gwen Stacy de Spiderman. Kemono Party vous propose le contenu venant directement de la source, et vous avez droit à une petite galerie d’images. Vous savez, je pense que j’achèterais des comics plus souvent si on y voyait plus de nibards. L’artiste qui a dessiné ça est un véritable professionnel, et on dirait que c’est la norme sur Kemono. Les gens préfèrent partager du bon contenu, du hentai de haute qualité sur lequel il est facile de se branler, pas des merdes sorties de Paint.
La facilité pour se branler, c’est l’un des éléments principaux qu’il faut regarder quand on cherche un nouveau site porno, que ce soit sur un site de sodo ou de filles dessinées avec des oreilles de lapin qui se font baiser par des futanari. Kemono Party vous permet de vous astiquer facilement, mais ça aurait pu être mieux. J’aurais aimé avoir plus d’options de navigation. Il manque quelques trucs basiques à Kemono, comme un menu de tags ou d’autres moyens d’organiser le catalogue. On peut trouver ça sur la plupart des sites, mais pas ici, dommage. Ils recherchent des développeurs en ce moment, donc espérons que ça finisse par arriver.
Ce qui est clair, c’est que les mecs qui font tourner Kemono aiment ce qu’ils font. Le contenu est bon, et ils font une belle plateforme pour le partager. C’est dommage qu’il leur manque certaines fonctionnalités, mais ils font de leur mieux pour satisfaire leurs visiteurs et leur offrir une expérience agréable. Le site tourne grâce aux dons, et ils ne vous balancent pas trop de pubs à la gueule. Les sites gratuits avec du contenu premium vous spamment généralement comme des enculés, mais pas ici.
Kemono.party est foutu de manière un peu différente que les autres sites de hentai, mais c’est pour ça qu’ils sont si populaires actuellement. Il vous suffira de quelques minutes pour vous faire à la présentation du site, et puis vous pourrez plonger dans leur énorme catalogue de sexe premium. Le site s’améliore à un bon rythme, donc je suis vraiment curieux de voir ce qu’ils vont bientôt nous proposer.
- Site de partage hentai
- Du contenu venant des plus grosses plateformes de vente
- Un flux constant de contenu récent
- Des millions de publications
- Une bonne variété de contenu, beaucoup de trucs fétichistes/furry
- Peu de pubs
- Pas de page des tags/catégories